L'interviewé n'est autre qu'un journaliste d'insinuation qui fait un pieds de nez à la science.ክሪስቶፈር እንዲህ ሲል ጽፏል-በትሮሎች እና በዘቲቲስቶች መካከል ያለው ትስስር ተመስርቷል ፡፡ እነዚህ በሚታዩ ፣ በሎቢዎቹ ክፍያ ውስጥ ኑፋቄ d'après ce journaliste du monde :https://youtu.be/-ATSegQp0Gg?t=863
የተቀረው ቪዲዮ እንዲሁ አስደሳች ነው ...
Je pense que là dessus, Exni serait d'accord avec moi https://www.afis.org/Journalisme-d-insi ... s-le-livre
Nous avions décrit le « journalisme d’insinuation » comme une attitude visant à disqualifier des propos en essayant de discréditer leurs auteurs [1]. Dans ce procédé de diabolisation, écrivions-nous, la réalité devient simple : « Il y aurait d’un côté les “bons” (eux) qui dénoncent tous les maux de la société et, de l’autre, tous ceux qui n’adhèrent pas à leurs analyses. Ces derniers sont alors amalgamés dans une vaste nébuleuse de “méchants” selon une rhétorique proche du complotisme où les lobbies tirent toutes les ficelles et les agences sanitaires qui ne confirment pas les attentes du “camp du bien” sont assimilées à des regroupements d’experts sous influence. Leurs avis ne méritent alors même pas d’être portés à la connaissance des lecteurs ou téléspectateurs. »
Ce passage visait alors en particulier les propos des journalistes Stéphane Horel et Stéphane Foucart dans un article du journal Le Monde (31 janvier 2019) [2] qui accusait tous ceux qui relayaient l’avis quasi unanime des agences sanitaires quant au risque du glyphosate sur la santé d’être les acteurs d’une campagne de lobbyisme de l’entreprise Monsanto.